Tu cherches la meilleure imprimante 3D ? On te dit laquelle dans cet article sans chichi, puis on développe 😉
Bambu Lab 1, tout simplement la meilleure imprimante FDM du moment (2025)
Bambu Lab a pris le monde de l’impression 3D FDM par surprise et en peu d’années s’est hissée comme le taulier.
A tel point que les concurrents maintenant s’efforcent de copier ses modèles, jusqu’à son look !
Avec la Bambu Lab A1, tu as le meilleur de Bambu Lab pour te lancer.
A tel point que les concurrents maintenant s’efforcent de copier ses modèles, jusqu’à son look !
Avec la Bambu Lab A1, tu as le meilleur de Bambu Lab pour te lancer.
La machine est belle, elle imprime parfaitement, super simple à monter, avec un volume d’impression généreux de 256mm x 256mm x 256mm, elle dispose de fonctionnalités pratiques comme l’autonivellement (on pouvait passer des heures avant à régler cela avec une feuille de papier, tu n’imagines pas…), elle peut utiliser un système AMS pour imprimer jusqu’à 4 couleurs et… elle ne coûte quasiment rien !!!
Imagine : tu peux l’acquérir en général pour un peu plus de 200 euros.
J’en ai personnellement une et elle m’a réconcilié avec l’impression FDM.
Imagine : tu peux l’acquérir en général pour un peu plus de 200 euros.
J’en ai personnellement une et elle m’a réconcilié avec l’impression FDM.
Ok, mais pourquoi tu ne parles pas d'impression résine ?
Chez fab4 Academy, on forme à l’impression 3D et on a-do-re l’impression résine.
Mais alors, pourquoi ne pas avoir proposé une imprimante 3D résine ?
Et bien, parce que si tu es tombé sur cet article, c’est que tu débutes dans l’impression 3D. Et qu’il faut que tu apprennes certaines choses d’abord…
Mais alors, pourquoi ne pas avoir proposé une imprimante 3D résine ?
Et bien, parce que si tu es tombé sur cet article, c’est que tu débutes dans l’impression 3D. Et qu’il faut que tu apprennes certaines choses d’abord…
Imprimante 3D FDM ou résine ?
Le terme FDM (fused deposition modeling) ou en français « dépôt de fil fondu » désigne les imprimantes comme la Bambu Lab A1 qui imprime du filament fondu. Très schématiquement, le filament est entraîné jusqu’à une buse chauffée dans les 220°C (oui, ne mets pas la main dessus), qui sera ensuite déposé couche après couche sur un plateau prévu à cet effet.
A l’inverse (et c’est le mot qui convient), l’impression résine utilise un autre procédé. Le plateau descend dans un bac en résine (imagine une solution liquide) qui contient au fond un écran. L’écran va « photopolymériser » la résine quelques secondes (il va envoyer de la lumière, et la résine va se durcir lors de cette exposition).
Il y aura quelques microns d’épaisseur de résine durcie (environ la moitié de l’épaisseur d’un cheveu, vraiment fin !) qui seront petit à petit amalgamés sur le plateau jusqu’à obtention de l’objet final.
A l’inverse (et c’est le mot qui convient), l’impression résine utilise un autre procédé. Le plateau descend dans un bac en résine (imagine une solution liquide) qui contient au fond un écran. L’écran va « photopolymériser » la résine quelques secondes (il va envoyer de la lumière, et la résine va se durcir lors de cette exposition).
Il y aura quelques microns d’épaisseur de résine durcie (environ la moitié de l’épaisseur d’un cheveu, vraiment fin !) qui seront petit à petit amalgamés sur le plateau jusqu’à obtention de l’objet final.
Pourquoi commencer par le FDM ?
Excellente question ! et heureusement que c’est moi qui écrit ces textes…
Il est généralement une bonne idée de démarrer par le FDM :
– les machines sont moins chères
– les volumes d’impression sont plus généreux (les volumes d’impression en résine sont vraiment petits)
– les consommables sont pas chers
– tu apprends les rudiments de l’impression 3D et du slicer
– et surtout : tu vois si l’impression 3D te plaît !
Et ce n’est pas tout : l’impression résine demande un local dédié, car elle nécessite la manipulation de produits toxiques : – déjà la résine, que l’on va manipuler avec des gants voire avec un masque à gaz
– l’IPA, de l’alcool à 99° qui va te servir à nettoyer tes objets
– les émanations de photopolymérisation
Sans compter la technique additionnelle pour préparer ses modèles 3D (un slicer généralement payant, des contraintes de gravité, de succion avec la résine, le post-traitement et j’en passe…).
Pour toutes ces raisons, il est généralement plus simple de commencer par le FDM, et c’est pourquoi on vous conseille la Bambu Lab A1, parfaite imprimante pour débuter 🙂
Il est généralement une bonne idée de démarrer par le FDM :
– les machines sont moins chères
– les volumes d’impression sont plus généreux (les volumes d’impression en résine sont vraiment petits)
– les consommables sont pas chers
– tu apprends les rudiments de l’impression 3D et du slicer
– et surtout : tu vois si l’impression 3D te plaît !
Et ce n’est pas tout : l’impression résine demande un local dédié, car elle nécessite la manipulation de produits toxiques : – déjà la résine, que l’on va manipuler avec des gants voire avec un masque à gaz
– l’IPA, de l’alcool à 99° qui va te servir à nettoyer tes objets
– les émanations de photopolymérisation
Sans compter la technique additionnelle pour préparer ses modèles 3D (un slicer généralement payant, des contraintes de gravité, de succion avec la résine, le post-traitement et j’en passe…).
Pour toutes ces raisons, il est généralement plus simple de commencer par le FDM, et c’est pourquoi on vous conseille la Bambu Lab A1, parfaite imprimante pour débuter 🙂
Et ensuite ?
Si tu cherches des fichiers STL gratuits pour lancer tes premières impressions, on a fait un article là-dessus.
Et si tu es intéressé(e) par modéliser (que ça soit avec un logiciel 3D avec ZBrush, Blender, Rhino, Fusion 360, avec de l’IA ou des scans 3D), on a des formations IA/3D/impressions 3D dédiées sur le sujet. N’hésite pas à nous contacter pour en savoir plus !
